Lettre ouverte aux annonceurs et aux acheteurs en prestations intellectuelles
Les agences ne gagnent pas d’argent.
Le nombre moyen de compétitions menées dans l’année anéantit la rentabilité des agences indépendantes : c’est le constat sans appel de l’étude que L’agence des agences a mené auprès des acteurs du marché*
L’insatisfaction générée par la façon dont les compétitions d’agence sont conduites est grandissante, encore plus à un moment où les agences estiment que leur métier est en danger.
Si les annonceurs - directeurs/trices marketing, communication - et acheteurs/euses en prestations intellectuelles savaient ce que déclenche une compétition dans une agence, peut être seraient-ils/elles plus enclins à reconsidérer certaines pratiques.
C’est un fait, plus on connaît l’autre, plus on le comprend, et moins on est sujet à la tentation parfois irrépressible de le martyriser, verbalement, moralement ou psychologiquement.
Que savent les agences du travail que nécessite un brief ?
Il serait salutaire que les agences et les annonceurs échangent sur leur métier, que les uns comprennent ce qui se passe chez l’autre pour envisager une relation plus apaisée, plus respectueuse du travail de chacun.
Nous avions organisé pour une agence et un de ses clients une journée sur le thème « vis ma vie ». Le principe était simple : l’agence devient l’annonceur, l’annonceur devient l’agence. Rédaction du brief, définition de la stratégie, brief création, présentation et choix. Une compétition concentrée sur une journée. Ni l’annonceur, ni l’agence n’a considéré l’autre comme avant.
96% des agences françaises sont des petites structures. Elles regorgent de talents.
UDA, Club des Annonceurs, Club des Acheteurs de prestations intellectuelles, contactons-nous pour définir les modalités d’un processus de compétition éthique et vertueux, en droite ligne des engagements RSE chers à tous.
*Résultats de l’étude à votre disposition sur simple demande